Tu rabat tes ailes poilues contre tes flancs et descends en piquer, tu les étend a quelques mètres du sol à peine, ton atterrisage bien que silencieux détériore le paysage sublimes. Sur tes joues des poils sont mouillés oui, ce sont tes larmes, celles-ci on marqués sur ton visage un de tes coups de blues, tu te recroqueville dans l'herbe. Ton visage enfouit dans tes pattes, tu pleures, oui tu pleures, tu cris au secours en silence tu te plains de leur absence, tu ressasses ton passé, ton foutu passé, le passé ça te sert a quoi franchement hein ? À part à te faire chialer comme une madeleine dès que t'y pense, foutu passé, foutue vie, foutue existence.
[non fini]