La mer c'est romantique ? (Pv Yell - Vanguard)

Un vent frais chargée de l'odeur salée de la mer qui se trouvais non loin d'ici, hé oui la demoiselle des glaçes se trouvait à Ascidris la falaise des milles rochers. Mais que fais t-elle içi ? Elle cherchais un échappatoire. Oui, oui un échappatoire, elle avait besoin d'oublier un peu ses soucis et de pensée à autre chose, elle avait retrouvée son frère aprés tout, elle pouvais pensée à autre chose. Elle avançais tranquillement et silencieusement tel un esprit errant sur ces terres.
- Je n'était jamais venue ici... constata la louve au pelage nuancée de gris.
Elle continua d'avancer lorsque soudain quelque chose retint son attention, pas si loin que cela, une grande falaise se dressait et donnait sûrement une magnifique vu sur l'étandu d'eau salée.
- Wouah... je veux voir ça de plus prés, en plus qui aurait l'idée de venir ici ? Je serais seule et je pourrait admirer la mer, c'est super tout ça ! S'exclama la louve.
Elle changea donc de cap et se dirigea vers cette falaise nommé Ascidris. Un volatile passa au dessus de la canidé, fesant danser sa danse fourrure grise aux motifs bleus au passage.
- Bonjour et aurevoir hein ! Déclara t-elle au volatille de passage.
Aprés cette petite distration la louve des glaçes repprit tranquillement sa route vers la falaise. Durant toute la route elle ne croisa personne se qui secretement l'arrangais, elle n'avais pas envie enfin pour l'instant...

Elle arriva enfin au pied de la fallaise des milles rochers, subsugé par la beauté du spectacle qui s'offrait à elle: Devant elle se dressait une immence falaise et à partir de là, on pouvais entendre les vagues s'écrasées contre le sol et on pouvais entendre -voir même entrevoir- des mouettes piayer.
- Je vais jamais pouvoir grimper ça...
Elle regarda encore la longueur de la falaise avant d'ajouter:
- Je peux toujours essayer et si je vois que ça va pas je redescend.
Elle inspira un bon coup et tâtona la roche de sa patte dans l'espoir de trouver une prise.
- Bingo ! triompha t-elle lorsque qu'elle trouva une prise.
Elle s'accrocha à la prise et commenca son escalade, la pente était raide, mais lorsque que Yell à une idée en tête, impossible de le lui enlever !
- Aller Yell, courage !
Elle grimpais au rythme de ses "Aller !" incessant. Elle n'abendonnerais pas, elle le savais. Elle fini part arriver à un quart de la falaise, les muscles de la louve tremblante, mais elle perserverait.
- Encore...
Soudain, sa patte avant manqua l'appui et elle tomba, lors du choc sa patte avant se fit écraser par son poitrail se qui lui tira un long crie de douleur.

Elle se dépécha d'enlever sa patte d'en dessous de son poitrail et l'inspecta: de toute évidence elle était cassée...
- Idiote ! se dit Yell à elle-même.
Ses muscles tremblait encore lorqu'elle léchais le sang qui s'écoulait de la blessure faite à sa patte antérieure. Elle resta là allongée au pied de la falaise, tremblante et léchant le sang qui s'écoulait de sa patte.

Près d'une immense falaise un jeune loup se promenait. Il avait entendu pas mal de rumeurs sur cet endroit. Un endroit merveilleux et magique, mais dangereux à la fois lorsqu'on a l'habitude de ne pas regarder ou on pose les pattes. Il était arrivé au pied de cette falaise et avait regarder en l'air. Il avait décider de prendre son envol pour aller se percher à son sommet et admirer la vue et peut-être y faire une petite sieste agréable. Il se trouvait donc à présent en haut de la falaise, tout au bord a regarder la mer en contre-bas se briser contre les roches un peu plus loin. Des oiseaux pêchaient les poissons qu'ils savaient abondants près de la rive. Même lui savait cela. Les oiseaux, parfois venait se poser près de lui, observaient la mer. Mais pas du même oeil que lui. Vanguard observait la mer d'un oeil purement artistique alors que les oiseaux tentaient de repérer leurs proies dans l'eau, grâce au reflets du soleil sur leurs écailles. Il finit par laisser son regard allé là oui il le souhaitait. Et il dériva longtemps sur les oiseaux qui exécutaient toutes sortes de figures dans les airs pour attraper leur repas. Après un moment, il laissa tomber sa tête sur ses pattes avant, toujours en regardant les oiseaux dans leur ballets aériens. Ses paupières finirent par se fermer toutes seules.

Le soleil avait déjà bien avancer son chemin dans le ciel lorsq'il fut réveillé par une cri strident qui avait l'air de venir d'en dessous de lui. Il se leva en sursaut et se souvint qu'en dessous de lui, il y avait le bord de la falaise, ainsi que son pied. Il revint tout au bord de la falaise et regarda en bas. Il aperçut une louve qui tombait, et il entendi le son de sa chute jusqu'en haut de la falaise. Ni une ni deux, il sauta.

Il plongea un long moment, la falaise était haute. Il se laissait tomber, la tête la première, et à cette vitesse, s'il faisait un mouvement une milliseconde trop tard, il s'écraserait sur le sol. Mais voilà, Vanguard n'en était pas à son premier vol, et il avait beaucoup d'expérience. Alors qu'il approchait du sol à une vitesse vertiginieuse, il déploya d'un seul coups ses grandes ailes noires ce qui le stoppa net en l'air. Heureusement qu'il ne venait pas de manger, car il y a de quoi se retrourner l'estomac avec ce genre de choses. Il se posa doucement près de la louve car c'était bien une louve. Elle était blessée. Elle avait déjà bougé, et léchait pattes sûrement brisée, vu l'angle bizarre qu'elle prduisait, et ensanglantée. Van' s'approcha doucement et s'annonça poliment :

" Bonjour, sacré chute, vous avez de la chance de n'être que blessé demoiselle. Je me nomme Vanguard, pour vous servir. Il faut aller ailleurs, la marée va monter, et vous aller vous noyez si vous rester ici. Pouvez-vous marcher? "

Van' était grand, et il le savait, il espérait ne pas trop effrayer la louve de par sa carrure imposante et sa grande taille. Les loups de tailles moyenne lui arrivaient à peine à hauteur d'omoplates avec le sommet de leur tête. Mais en plus de sa carrure déjà impostante, ses muscles étaient incroyablement développé et saillant, ce qui pouvait faire encore plus peur. C'était souvent son plus grand problème face aux loups normaux. Sa taille et sa carrure qui inspiraient facilement la peur.

La douleur martelait la patte de la demoiselle, mais ce n'est pas pour autant qu'on l'entendait ce plaindre, non, elle supportait sa douleur, point finale.
- Comment je vais faire maintenant ? Se demanda la louve bicolore.
Elle resta l'air vague pendant un moment puis le sang chaud coulant sur son pelage la ramena à la réalité et elle se remit à léché le liquide au goût métalique bien que ça la dégoutait un peu...

Tandis qu'elle continuait tranquillement de se netoyer la patte blessée avec sa petite langue rose, une ombre se posa au dessus d'elle. Elle n'eut pas le temps de relever la tête vers cette ombre qu'un jeune loup blanc d'une taille anormalement grande et aux ailles noires se posta devant elle.
* Il est grand et musclé celui là, j'ai intêret de faire gaffe si je tiens à la vie *
Le loup s'avenca lentement et fini par déclarer:
" Bonjour, sacré chute, vous avez de la chance de n'être que blessé demoiselle. Je me nomme Vanguard, pour vous servir. Il faut aller ailleurs, la marée va monter, et vous aller vous noyez si vous rester ici. Pouvez-vous marcher? "
La jeune Hikage le regarda à nouveau, il était grand, on aurait dit le fils d'un géant.
* Aller Yell tu va pas restée là à le regardée en chien de faïence, comme même ! Il à pas l'air de te vouloir du mal le grand loup il veut juste t'aidée, alors tu prends ton courage à deux pattes, tu le tiens fermement sans le laisser se barrer et tu lui répond ! *
Alors elle fini par lâchée:
- Je vais pouvoir marcher, enfin je pense...
Bon nous sommes d'accord elle avait été particulièrement rustre sur ce coup là, mais connaisant le phénomène ça n'avait pas grand chose d'étonnant bien au contraire !
* Bon alors maitenant Yell, tu lui prouve que tu peux marchée toute seule comme une grande *
Elle prit une grande inspiration et tenta de se levée, cependant gardée l'équilibre sur trois pattes au lieux de quatres c'était pas évident, alors faute d'équilibre la louuve retomba à plat ventre, comme une carpette.
* Flûte... Aller Yell tu peux le faire !! *
Alors elle refit une tentative, elle réusit à se tenir debout mais au moment de se mettre à marchée elle perdit de nouveau l'équilibre et retomba de nouveau sur le sol rocheux.
- Bon...euh... je crois que je ne vais pas pouvoir marchée... à moins de vouloir jouer la carpette toutes les deux secondes, ce qui n'est pas le cas et ne le sera sûrement jamais.
Elle sourit bêtement et soudain elle remarqua que le bout de sa queue avait atterit sur le sommet de son crâne, se qui avait un effet commique, alors elle la repoussa en souflant et se mit assise.

Alors que le grand loup blanc attendait une réponse de la louve, la dîte louve leva la tête pour le regarder. Elle parut tétanisée sur le moment, et pendant quelques secondes. Elle finit tout de même par répondre d'une voix qu'elle espérait sûrement assurée, mais qui ne fut pas des plus convainquante qu'elle pensait pouvoir marcher. Ensuite, elle tenta maladroitement de se lever, puis de tenir sur ses trois pattes valides. Elle tint bon quelques secondes puis se retrouva à plat ventre sur le sol. Elle refit une nouvelle tentative, plus convainquante, mais dès qu'elle voulut faire un pas, elle s'éffondra à nouveau. En chutant sa queue s'était placée sur le sommet de sa tête, ce qui lui donnait un air assez comique. Cela arracha même un sourire au grand loup que tout le monde pensait si froid en le jugeant seulement sur sa stature, et sa grandeur. Mais Van' avait dors et déjà deviner que la louve était une louve pleine de fièrté et qu'il ne serait pas facile pour lui de lui prouver qu'elle pouvait lui faire confiance. Elle finit par admettre faiblement, tout en aillant l'art de garder le minimum de fièrté qu'elle pouvait :

" Bon...euh... je crois que je ne vais pas pouvoir marcher... À moins de vouloir jouer la carpette toutes les deux secondes, ce qui n'est pas le cas et ne le sera sûrement jamais. "

Vanguard sourit à nouveau, ah la fièrté, une chose innestimable pour certains et si futile pour d'autres. Lorsqu'il rencontrait des loups fiers à un point que l'on n'ose soupçonné, ça le faisait rire, le plus souvent, et parfois ça l'énervait, suivant le loups qui se trouvait devant lui. En l'occurance la fièrté de cette louve le faisait rire, malgré tout elle était parvenue à admettre qu'elle ne pourrait pas marcher, et qu'elle aurait donc besoin d'aide. Il s'approcha d'elle doucement. Mais quelque chose de froid sur ses pattes arrière attira son regard. La marée montait, et elle montait très vite, il n'y avait pas une minute à perdre, car dans une minute, elle serait sous l'eau la pauvre. Sans lui demander son avis, ni l'avertir, faute de temps, il lui attrapa la peau de la nuque, et la souleva sans aucune peine. La lachant en l'air, il se glissa agilement sous elle, et elle atterit à moitié sur son dos. Ensuite à l'aide du tout petit bon, il l'a tourna, pour la mettre sur son dos correctement. Chacunes des pattes de la louve se trouvait par dessus les siennes, et son ventre contre son dos. Elle allait devoir ravaler sa fièrté le temps qu'elle soit en sureté, et surtout qu'elle s'accroche à la nuque du loup. Il déploya ses ailes immenses et, alors que l'eau se trouvait dors et déjà au niveau des genoux du grand loup, en un battement, il s'envola perpendiculaire au sol, pour ne pas risquer qu'elle tombe. Il vola le plus droit possible, tout en montant très gentiment en cercle. Il olait tranquillement, ne se pressant pas, ses battements d'ailes étaient lents mais puissants. On aurait pu croire qu'il fatiguait, mais non, loin de là, pour lui, le poids de la louve ne changeait pas grand chose. Après quelques minutes de vol lent et gracieux, il se posa finalement au sommet de la falaise. Doucement il se coucha sur la sol, et se penchan d'un coté, il fit doucement tombé la louve sur le sol. Ensuite, il se tourna vers elle, et inclina la tête pour s'excuser tout en déclarant :

" Pardon pour ma brusquerie, et de ne pas vous avoir avertie, mais l'eau montait, et lorsque je me suis envoler, j'en avais déjà jusqu'aux genoux, autant dire que vous auriez éé, sous l'eau à ce moment là. "

Il était resté couché près d'elle pour être à sa hauteur. Il en profita pour la regarder, et voir ce qu'elle avait vraiment de cassé. Sa patte faisait effectivement un angle bizarre, elle était certainnement cassée, et ça pendrait du temps pour la rétablir. Au passage, il remarqua que la louve était très jolie. Une foururre qui avait l'air soyense à souhait, des poils longs à la queue et de la tête au bas de la nuque, gris, avec de-ci, de-là des lignes et des dessins bleus clair. Il la trouva très jolie et ne put détacher son regard d'elle pendant un petit moment. Soudain, au dessus d'eux, une mouette piailla. Cela le sortit de ses songes et il leva la tête. Ensuite regardant la louve dans les yeux, il déclara

" Je ne prétends pas être expert en la matière, mais je crois pouvoir affirmer que votre patte est cassée. Il faudra du temps et beaucoup de répos pour qu'elle guérisse. Avez-vous faim? "

Les ombres que produisait l'astre diurne dansait gracieusement sur le pelage de la canidé, elle était plongée dans ses réfléxions, mais lequels ? Haha, qui sait ! Peut être qu'elle pensais à son frère ou alors elle pensais au grand loup nommé Vanguard qui se tenait devant elle ?
* C'est bien ma veine de m'être cassé la patte ... * Pensa la demoiselle.
Soudain, le grand loup blanc aux ailles noires l'attrapa par la peau de la nuque, la souleva sans peine, la lâcha en l'air avant de se glisser en-dessous de la louve des glaçes et à l'aide d'un petit bond la placer correctement sur son grand dos musclé. Puis il s'envola en fesant bien attention de volé droit pour pas que la canidé qui s'agripait à son cou tombe.
* Wouah! * S'exclama intérieurement la louve grise.
Ce vol rappella à Yell le jour où son frère et son père l'avait sauvée des cariboux effrayés, mais elle chassa se souvenir de sa tête lorsque quelques larmes perla sur ses joues.
* Laisse ça derrière toi pour le moment * S'ordonna l'hikage.
Le loup se posa au sommet de la falaise et se pencha sur le côté pour faire descendre Yell de son dos.
- " Pardon pour ma brusquerie, et de ne pas vous avoir avertie, mais l'eau montait, et lorsque je me suis envoler, j'en avais déjà jusqu'aux genoux, autant dire que vous auriez été, sous l'eau à ce moment là. " S'excusa Vanguard.
- Pas grave, c'est pas comme si vous m'aviez kidnappé non plus. Répondit la louve.
Le spetacle qui s'offrait aux yeux blancs de la louve grise aux motifs bleus, le reflet du soleil sur la mer rendait le spectacle innoubliable aux yeux de la canidé qui en oubliait la présence du loup aillé.
- " Je ne prétends pas être expert en la matière, mais je crois pouvoir affirmer que votre patte est cassée. Il faudra du temps et beaucoup de répos pour qu'elle guérisse. Avez-vous faim? " Demanda le grand loup musclé.
La louve tourna la tête vers lui avant de lui répliquer:
- Je pense aussi ... elle soupira avant d'ajouter, et non merci je n'ai pas faim j'ai mangé mon déjeuner il n'y à pas longtemps.
Les mouettes volait tranquillement au-dessus de la mer en piallant et plongeant de temps à autres dans l'espoir d'attraper un poisson pour en faire un bon repas digne de ce nom.
* Je suis bien là * Pensa Yell.
Soudain une question se forma dans l'esprit de la jeune louve:
- Ca fais quoi de pouvoir voler, pas par l'intermédiaire de quelqu'un mais de son propre chef ?
Question pour le moins bizzare me diriez vous, ne cherchons cependant pas à comprendre ce qui ce passe dans la tête de la louve des glaçes, ceci est fortement imposible.

(Désolé de ce rp je me ratraperais une prochaine fois)

Au moins elle ne m'en voulait pas, c'était une bonne chose. Elle ne sembla pas non plus remarquer mon regard qui s'était longtemps attardé sur son physique que je trouvais par ailleurs sublime. Son regard s'attarda, comme le mien sur les mouettes qui tentaient toujours de pêcher leur repas. Elle était aussi du même avis que moi au sujet de sa patte. Nous la présumions tous les deux cassée, et donc très longue à rétablir, et surtout beaucoup de repos. Puis elle répondis à ma deuxième question, elle avait mangé sous peu, et donc je n'avais pas besoin d'aller dans l'immédiat lui chasser quelque chose à se mettre sous la dent. Même si il ne serait pas mauvais pour moi de manger quelque chose. Je remarquai son regard qui se perdit au loin dans l'horizon. Je tournais la tête pour voir ce qu'elle voyait, et je fus ébahi. La nature était vraiment capable de miracle alors. Un ciel bleu, rempli de nuage cotononeux blanc. Le soleil se couchant rendait le ciel rouge orangé, et les nuages était teinté en dégradé de cette même couleur extraordinaire. Mère nature était vraiment la plus forte, et je fus un moment sous le choc tellement c'était beau. Un lèger vent se leva face à nous, et je sentis son souffle comme un remerciement de notre Mère à tous pour les pensées complimentées que j'avais eu pour elle à l'instant. Je levais le museau adoptant une posture bien fière et laissai le vent s'engourffrer dans ma fourrure et la remplir d'oxigène et de fraicheur. Finalement, je fus ramener à la réaliter par la jeune louve qui me demanda :

" Ca fais quoi de pouvoir voler, pas par l'intermédiaire de quelqu'un mais de son propre chef ? "

Voilà une question bien pertinante et qui surtout, me prouvait que le vol ne lui avait pas déplu, et même bien loin de là. Je réfléchis un moment pour répondre le mieux possible et lui donner les renseignement qu'elle voulait vraiment.

" Être son propre chef est déjà en soit une sensation unique. Lorsque vous êtes libre et que personne ne peut, ou n'ose vous donnez des ordres. Vous devez sans doutes imaginer que pour moi, c'est assez souvent le cas. Étant solitaire et de plus avec ma carrure, je présume que vous imaginez sans peine que rare sont les loups qui osent me défier. Et vous avez raison, seuls les fous ou les assoifés de sang osent me demander en combat. Il m'arrive de me battre, mais sérieusement, je n'aime pas vraiment ça, je suis plus à l'aise avec le style, combat amical. On combat, mais sans coup bas et en toute amitié. Mais je m'égare je crois. Voler, je dirais que c'est... Être libre, totalement, j'entends. Non seulement personne ne vous dit ce que vous avez à faire, mais en plus, vous pouvez défier les lois de la nature. Ce que vous avez vécu juste à l'instant n'était qu'un simple vol de plaisance à coté de ce que je peux faire. Mais étant blessée, vous n'auriez jamais pu tenir sur mon dos. Même pour un loup en parfaite santé, c'est dur, et je crains de ne jamais pouvoir vous montrer à quel point c'est grisant. On se sent libre, libre de faire ce qu'il nous plait, quand il nous plait. Et surtout on profite de mère nature au comble de l'extase, car par moment, elle nous envoie des vents tellements puissants que c'est encore plus facile de faire toutes sortes de figure complexes. Parfois il suffit de se laisser porter et le vent nous entraine tout seul dans des figures extraordinaires. JE vous montrerai une fois ce que je peux faire si vous le désirez, mais je ne voudrais pas non plus vous dégouté de votre état exclusivement terrestre. Sachez que je ne passe pas tant de temps que cela dans les airs, j'aime tout autant être sur mes pattes et sentir les vibrations de mère nature dans mes coussinets. "

J'ajoutais la dernière phrase avec un sourire sincère. Tout ce que j'avais dis était vraiment. J'aimais beaucoup sentir sous mes coussinets les vibrations de notre Mère qui se rebellais contre cette guerre stupide, ou ses frémissements de bonheurs, qui se faisaient certes de plus en plus rare, mais existait encore.

Observant les oiseaux qui volait paisiblement dans le ciel qui commennçait à ce teintre d'orangée, une citation vint à l'encontre de l'esprit de la canidé: "Le serpent qui rampe ne peut que envier l'aigle qui vole".
" Être son propre chef est déjà en soit une sensation unique. Lorsque vous êtes libre et que personne ne peut, ou n'ose vous donnez des ordres. Vous devez sans doutes imaginer que pour moi, c'est assez souvent le cas. Étant solitaire et de plus avec ma carrure, je présume que vous imaginez sans peine que rare sont les loups qui osent me défier. Et vous avez raison, seuls les fous ou les assoifés de sang osent me demander en combat. Il m'arrive de me battre, mais sérieusement, je n'aime pas vraiment ça, je suis plus à l'aise avec le style, combat amical. On combat, mais sans coup bas et en toute amitié. Mais je m'égare je crois. Voler, je dirais que c'est... Être libre, totalement, j'entends. Non seulement personne ne vous dit ce que vous avez à faire, mais en plus, vous pouvez défier les lois de la nature. Ce que vous avez vécu juste à l'instant n'était qu'un simple vol de plaisance à coté de ce que je peux faire. Mais étant blessée, vous n'auriez jamais pu tenir sur mon dos. Même pour un loup en parfaite santé, c'est dur, et je crains de ne jamais pouvoir vous montrer à quel point c'est grisant. On se sent libre, libre de faire ce qu'il nous plait, quand il nous plait. Et surtout on profite de mère nature au comble de l'extase, car par moment, elle nous envoie des vents tellements puissants que c'est encore plus facile de faire toutes sortes de figure complexes. Parfois il suffit de se laisser porter et le vent nous entraine tout seul dans des figures extraordinaires. JE vous montrerai une fois ce que je peux faire si vous le désirez, mais je ne voudrais pas non plus vous dégouté de votre état exclusivement terrestre. Sachez que je ne passe pas tant de temps que cela dans les airs, j'aime tout autant être sur mes pattes et sentir les vibrations de mère nature dans mes coussinets. " Répondit le grand loup blanc à la question de la louve.
Les paroles de Vanguard avait suscitée de la curiosité dans l'esprit de la louve, et elle aurait donnée n'importe quoi pour pouvoir voler... enfin presque il y à comme même des limites hein, par exemple elle n’aurait pas donné la vie de quelqu'un contre des ailles ni même sa propre vie d'ailleurs, elle était déjà assez courte comme ça pas la peine de ce la racourcir pour des broutilles sans grande valeur !
- J'aimerais beaucoup voir vos "figures extraordinaires" dont vous faites allusion, si la chose est possible. Lâcha t-elle finalement.
Elle commençait à appréciée la compagnie du grand et puissant loup blanc qui l'avait sauvée la vie, aprés tout il l'avait sdauvée de la noyade elle pouvait faire un effort pour une fois, c'était la moindre des choses, d'autant plus qu'il n'était pas obliger de le faire, enfin dans le sens de la moral, si mais sur ses terres où la guerre domine la moralité devait être quelque chose en voie de disparition.

Tandit que son regard se promenait sur ce magnifique paysage, le regard de la canidé au pelage aux nuances de gris et aux motifs bleus se posa sur un fleur qui était dans un "creu" de la falaise, une Spergulaire des rochers d'après ses connaisances plutôt vaste, en la matière.
* Elle est jolie * Pensa la louve du clan de la l'astre nocturne.
Le végétal en question avait une tige plutôt longue de couleur vert claire avec se feuilles qui semblait former un escalier en spirale autour de cette dernière, mais comment dame nature avait pu avoir eut cette idée ? Personne ne le saura. Bon revenons à nos moutons, ou plutôt à notre Spergulaire des rochers, ses pétales était violette claires et aux tendances plutôt longues tandit que ses longs et fins pistils si fragiles sont blancs accompagnée de leurs fidèles petite boules jaunes vifs appelées des anthères.
* La nature est bien faite * S'émerveilla la demoiselle.
Et si elle savait tous les secrets dont dispose cette dernière elle serait encore plus ébahie que ça.

(désolé du temps de réponse et de ce rp minable --")

Je vis dans ses yeux que j'avais largement réveillé sa curiostié. Elle finit par déclarer :

" J'aimerais beaucoup voir vos "figures extraordinaires" dont vous faites allusion, si la chose est possible. "

Alors j’avais vu juste, elle rêvait bien de voler, mais n'osait pas l'avouer, bien sur, un brin trop fière. Elle laissa elle aussi son regard allé sur ce magnifique paysage. Je le vis s'arrêter sur quelque chose qu'elle sembla admiré un moment. Je suivis son regard et tombait sur une fleur. Elle était magnifique, autant que la louve qui la regardait. Ses pétales violets ressemblaient à des escalier en spirales, s'enroulant autour d'une tige verte. Les organes masculin de la fleur étaient long et blanc, faisant ressortir la couleur de ses pétales. La nature arrivait toujours à impressioner le grand loup blanc. Elle le fascinait, et chaque fois qu'il pensait avoir tout vu, la nature lui prouvait que non, lui faisant découvrir une chose magnifique qu'il n'avait encore jamais vue. Et dieu seul sait ce qu'il en avait vu des choses merveilleuses. Mon regard revint sur elle, qui n'avait toujours quitté la fleur des yeux. Son regard était si bizarre et profond à la fois. Elle n'avait pas de pupille, juste des yeux entièrement remplis d'un gris argenté qui faisait tellement ressortir toutes les couleurs de son corps. Elle était tellement belle... Je finis par me reprendre un semblant, histoire de ne pas la gêner par mon regard qui devait commencer à se faire un peu trop insistant. J’espérais qu'elle n'avait pas remarquer tout ce temps que je passais à la détaillé, la trouvait toujours plus magnique. Je finis par déclarer :

" Magnifique fleur, vous avez du goût. Mère nature ne cessera donc jamais de m'étonner, chaque fois que je pense avoir tout vu d'elle, elle me prouve que non en me laissant découvrir une autre merveille de sa création. Si je ne trouve pas de compagne, je saurais tomber largement amoureux de notre mère nature. "

Ajoutais-je avec une pointe d'humeur, lui offrant un grand sourire. J'essayais surtout de cacher le fait que j'étais peut-être n train de tombé amoureux d'elle. Pour l'instant du moins, de son physique, mais apparemment, elle aimait la nature, ou du moins les fleurs, et cela attisa encore plus le feu de mon ventre. Je finis par sentir une g^ne grandir en moi. Pour tenter de la cacher au mieux, je vins à coté d'elle, et m'allongeai assez près pour sentir la chaleur de son corps, mais assez loin pour ne pas la toucher. Je finis par regarder le ciel et répondi enfin à sa question :

" Bien sur que je pourrais vous montrer, mais pas aujourd'hui, je sens que du vent va se lever, un peu trop fort pour décoller sans risque. J'aime voler avec le vent, mais lors d'un décollage ou d'un attérissage, il est très embêtant, malheureusement. Si on veut voler avec le vent, il faut le mérité, et il est trop capricieux aujourd'hui. Mais il y a une autre chose que j'aime faire, et que si l'envie vous en prends, j'accepterai volontier votre participation. "

Sans attendre la réponse de la jolie louve, il roula sur le dos, et laissant ses pattes se remplier sur son poitrail, il se mit à regarder le ciel, les nuages. Après un petit moment, il finit par déclarer :

" Les nuages, encore une merveilles de la nature. Elle arrive à leur donner toutes sortes de formes, et parfois de couleurs. Celui-là par exemple, on dirais un lapin, avec sa petite queue touffue. Il à l'air tellement bon, que j'aurais presque envie de monter le croquer... "

Je pointais le nuage en forme de lapin de la patte pour qu'elle puisse le voir si elle le voulait. J’espérais qu'au moins cette activité pourrais lui plaire, car avec l'état de sa patte son champs d'activité était largement restreint.

Toujours couchée à cause de sa patte invalide, la jeune demoiselle observait secretement le grand loup blanc, dont sa frimousse la fesait sourire, surtout l'unique trait noir qui suivait l'os qui menait à son museau. Lorsque qu'elle remarqua que le loup venait de tourner la tête vers elle, elle se dépêcha de tourner la tête vers la fleur qu'elle observait précédament.
" Magnifique fleur, vous avez du goût. Mère nature ne cessera donc jamais de m'étonner, chaque fois que je pense avoir tout vu d'elle, elle me prouve que non en me laissant découvrir une autre merveille de sa création. Si je ne trouve pas de compagne, je saurais tomber largement amoureux de notre mère nature. "" Si je ne trouve pas de compagne" ? Cela voulait dire qu'il n'en avait pas actuellement ? La louve des glace sortit cette idée de la tête en la secouant, pourquoi pensait elle à ça ? Serait t-elle en train de tomber amoureuse de se grand loup ? Elle préférait chasser cette idée à coup de patte pour le moment.
- Ma foi, cela ne reste qu'une coïncidence, ce n'est pas moi qui est trouvée la fleur, c'est elle qui ma trouvée. Répondit la louve au pelage nuancé de gris.
Elle demeura distante, d'autant plus que le fait que le loup se soit rapprocher la fit rougir, elle n'avait pas vraiment l'habitude qu'un autre loup que son frère adoré l'aborde, enfin si, d'autres mâles l'avait déjà abordée mais comme à l'époque les deux loups n'étaient pas séparés, cela avait toujours été avec la présence rassurante de Vànell à ses côtés. Cependant la présence du grand loup blanc aux ailles noires ne lui était pas désagréable, loin de la, c'était juste qu'il lui fallait ... un temps d'adaptation en quelques sortes.
" Bien sur que je pourrais vous montrer, mais pas aujourd'hui, je sens que du vent va se lever, un peu trop fort pour décoller sans risque. J'aime voler avec le vent, mais lors d'un décollage ou d'un attérissage, il est très embêtant, malheureusement. Si on veut voler avec le vent, il faut le mérité, et il est trop capricieux aujourd'hui. Mais il y a une autre chose que j'aime faire, et que si l'envie vous en prends, j'accepterai volontier votre participation. " Répondit le loup bicolore à sa question précédente.
Une chose requérant sa participation ? Qu'est-ce que sa pouvait bien être ? Vanguard venait, une fois de plus, d'attirer la curiosité de la demoiselle des glaces. Soudain elle remarqua que le canidé était couché sur le dos en train d'admirer les nuages de cotons, c'était donc ça, qu'il voulait faire avec elle ! Aussitôt elle l'imita, ce genre de chose, elle le fesait souvent avec son grand-frère donc ça lui donnait l'occasion de faire quelque chose qui lui plaisait vraiment.
" Les nuages, encore une merveilles de la nature. Elle arrive à leur donner toutes sortes de formes, et parfois de couleurs. Celui-là par exemple, on dirais un lapin, avec sa petite queue touffue. Il à l'air tellement bon, que j'aurais presque envie de monter le croquer... "
Il leva la patte en direction du nuage en question, il avait raison cette masse blanche qui voyage au grès du vent ressemblait vraiment à un petit lapin tout mignon, ce qui fit sourire la louve des glaces. Son regard se promena sur cet immence toit bleu ciel, à la recherche d'une tache blanche à la forme singulière.
- Hé, le nuage là-bas, il ressemble à un coeur ou mes yeux me jouent des tours ? Demanda l'hikage.
Elle leva la patte vers le nuage dont il était question pour que son "compagnon" puisse le localiser plus facillement. Et plus les secondes défillaient plus le sentiment que ce nuage ressemblait à un coeur se fortifiait dans l'esprit de la demoiselle. Etait-ce un signe de mère nature ? Ou seulement une étrange coïncidence ? Mais encore mère nature avait elle envie de rire un peu ? Seul le temps nous dévoilera tranquillement la bonne réponse.

Le grand loup blanc fu ravi de voir s'afficher un large sourire sur la frimousse de la jeune femelle pour qu'ensuite elle roule sur le dos à son tour. Elle regarda un long moment le ciel, puis enfin, elle finit par demander tout en pointant de la patte :

" Hé, le nuage là-bas, il ressemble à un coeur ou mes yeux me jouent des tours ? "

Je suivis la direction que m'indiquai sa patte avant encore valide et tombait sur un nuage possédant une forme que je ne connaissais pas. Un malaise s'installa en moi, comment expliquer à une femelle que j'étais capable d'aimer, alors que je n'avais même jamais vu de coeur de ma vie, et que je ne savais pas en reconnaître la forme. Je finis par me décider à être franc :

" A dire vrai, je ne sais pas à quoi ressemble un coeur. Je n'en ai jamais vu, je n'ai jamais eu de femelle, j'ai passé la majeure partie de ma vie à m'occuper de mon frère, et le restant de celle-ci, je l'ai passée à vagabonder avec lui, alors que je lui avait tout appris. Je n'ai jamais passé de temps avec une femelle, et je suis encore moins tombé amoureux. Je ne plains pas, j'aime mon frère, et m'occuper de lui fut un immense bonheur, et honneur, mais à présent, je sens qu'il à envie de vivre sa vie, et j'ai du mal à imager mon frère qui n'a plus besoin de moi. Et je suis un peu perdu, car je suis en train de me rendre compte, que j'ai toujours vécu avec et pour lui, depuis qu'il est venu au monde, et que donc, je suis complètement perdu sans lui. Je sais me débrouiller suel, parfaitement même, mais je me sens trop seul. Je sens un vide atroce, à l'intérieur de moi. Même si nous partageons encore la même tanière, il est absent de plus en plus souvent, et me propose de moins en moins souvent à l'accompagner. Je le vois grandir, et s'éloigner de moi, et il me manque. Et comme tout grand frère qui se respecte, j'ai peur qu'il puisse lui arriver quelque chose de grave. Malgré le fait qu'il possède la même carrure que moi, à peu de chose près, il est beaucoup plus maladroit et moins prudent que moi, et ce n'est pas faute d'avoir essayer de lui apprendre. En fait je crois que mon plus gros problème n'est pas qu'il veuille vivre sa vie, mais qu'une fois qu'il sera partit, à quoi pourrais-je bien occuper mes journées. Il y a tellement longtemps qu'elles sont occupées que par lui. "

Une seule et unique larme coula sur la joue du loup à l'âge indéfini. Il y avait bien longtemps qu'il n'avait plus versé de larmes, même une seule. Un silence plus que gênant s'installa. Bien sur, pour n'importe quel loup normal, lorsque l'on parle de bien longtemps, cela remonte à quelques années, voir éventuellement une décennie, mais lorsque c'est Vanguard, ou Angelis qui parle de cette manière, vous pouvez facilement y inclure quelques décennie. Car malgré leur apparence de jeunes loups, ils n'en ont pas moins qu'au moins une dizaine de décennie pour Angelis et plus encore pour Vanguard. Mais qui pourrait savoir, car ils ne parlent jamais de leur ages, ayant eux même perdu la notions du temps, ils ignorent leur âge précis et ne sauraient vous donnez qu'une vague estimations. Ils ont arrêtés de compter les années qui passent depuis bien trop longtemps. Le loup blanc se laissa perdre dans ses souvenirs, n'entendant plus rien alentour. Il ferma les yeux et laissa les nombreux souvenirs qu'il avait partagé avec son frère envahirent son esprit confus. Leurs joutes verbales qui finissaient en éclats de rires, leurs nombreux combats que ce soit ceux pour l'entrainement du cadet, ou pour distraire l'un comme l'autre lorsqu'ils s'ennuyaient, les nombreuses heures passées à regarder les nuages, et celles encores plus nombreuses à voyager, à chasser, et à explorer ce monde si vaste. Tous ses moments lui manquaient déjà, et ils lui manqueraient durant le reste de sa vie s'il ne trouvait pas quelqu'un pour remplacer son frère pour accomplir toutes ses activité qui le définissait. Sans tous cela à faire, il ne se sentait plus rien. Il se sentait plus perdu que jamais, encore plus que s'il s'était retrouver seul au milieu du monde. Il se rendait compte que depuis bien longtemps, si Angelis avait eu besoin de lui, lui même avait eu bien d'avantage besoin de son cadet à ses cotés. Et qu'il se sentait plus seul que jamais sans lui. Il finit enfin par r'ouvrir les yeux et sans accorder un regard à la louve, il se releva et se dirigea vers le bord de la falaise pour s'y coucher et laissant pendre le bas de ses pattes avant, il leva le nez vers le ciel et le regarda bien longtemps sans ciller.

Lorsqu'enfin il eut finit de plonger dans sa solitude, et que sa déprime passagère le laissa enfin en paix, le soleil s'était déjà couché, et le ciel bleu avait laissé la place à un ciel noir rempli d'étoile. Le grand loup se leva et se souvint qu'une louve dépendait en quelque sorte de lui pour quelque temps. Cela lui rendit un peu de baume au coeur, il n'était pas totalement seul! Il s'approcha d'elle et déclara :

" Pardonnez moi de vous avoir laissée seule tout ce temps, un besoin pressant de réfléchir et de faire le point sur ma vie. La nuit est venue rapidement, je suis navré, je vais vous emmener dans un endroit ou nous pourrons passé la nuit, et demain à l'aube, j'irais chasser. Montez, s'il vous plait. "

Il se coucha à coté de la louve pour qu'elle puisse monter sur son dos et attendit.

Il sentait comme des papillons dans son ventre et ce, chaque fois qu'il posait les yeux sur la jeune femelle. Mais il se força à reprendre conscience, elle n'avait que quelques étés, elle n'était encore qu'une adolescente, enfin dans sa race en tout cas. Lui avait plusieurs centaines d'années derrière lui, et il ne voulait pas lui infligé le spectacle de se voir vieillir au coté de celui qu'on aime et qui n'a presque pas changé, alors que l'on se meurt. Il trouvait cela bien trop cruel pour la jeune louve, et donc il se contiendrait, et se contenterai du temps qu'elle voudrait bien de lui pour l'aider à se rétablir, ensuite il s'en irait, en taisant ses sentiments. Il savait que lui et son frère étaient certainement les derniers de leur espèce en plus de leur parents, s'ils n'étaient pas mort depuis le temps qu'ils les avaient quittés, et que leur chance de trouver pour l'un ou pour l'autre une femelle qui pourrait vivre aussi longtemps qu'eux serait une chance inespérée, et d'ailleurs, Vanguard avait cessé d’espérer depuis déjà quelques décennies.

Désolée, pas beaucoup d’intérêt pour Yell, mais je pense que ce point était nécessaire à Vanguard. Au pire si jamais Yell peut faire de même^^ Je te souhaite un bon retour de vacances avec ce RP^^

Yell regardait toujours le ciel nuageux perdue dans ses pensées, ou plutôt son passé. Lorsqu'elle était petite elle et son frère ainé adoraient regarder le ciel ensemble pendant des heures sans dire un mot.
A dire vrai, je ne sais pas à quoi ressemble un coeur. Je n'en ai jamais vu, je n'ai jamais eu de femelle, j'ai passé la majeure partie de ma vie à m'occuper de mon frère, et le restant de celle-ci, je l'ai passée à vagabonder avec lui, alors que je lui avait tout appris. Je n'ai jamais passé de temps avec une femelle, et je suis encore moins tombé amoureux. Je ne plains pas, j'aime mon frère, et m'occuper de lui fut un immense bonheur, et honneur, mais à présent, je sens qu'il à envie de vivre sa vie, et j'ai du mal à imager mon frère qui n'a plus besoin de moi. Et je suis un peu perdu, car je suis en train de me rendre compte, que j'ai toujours vécu avec et pour lui, depuis qu'il est venu au monde, et que donc, je suis complètement perdu sans lui. Je sais me débrouiller seul, parfaitement même, mais je me sens trop seul. Je sens un vide atroce, à l'intérieur de moi. Même si nous partageons encore la même tanière, il est absent de plus en plus souvent, et me propose de moins en moins souvent à l'accompagner. Je le vois grandir, et s'éloigner de moi, et il me manque. Et comme tout grand frère qui se respecte, j'ai peur qu'il puisse lui arriver quelque chose de grave. Malgré le fait qu'il possède la même carrure que moi, à peu de chose près, il est beaucoup plus maladroit et moins prudent que moi, et ce n'est pas faute d'avoir essayer de lui apprendre. En fait je crois que mon plus gros problème n'est pas qu'il veuille vivre sa vie, mais qu'une fois qu'il sera partit, à quoi pourrais-je bien occuper mes journées. Il y a tellement longtemps qu'elles sont occupées que par lui. " Répondit le grand loup blanc au ailles noirs à la question de la demoiselle des glaçes.
Au moins elle n'était pas la seule à avoir passé la majeur partie de sa vie seulement intéressée par son frère, c'était plutôt rassurant, elle n'était pas la seule à ce préocupé de son avenir maintenant que son frère n'avait plus tellement besoin de sa présence près de lui.
- Un coeur ça ressemble à ça... Elle fit un coeur sur le sol entre elle et l'autre loup à l'aide de sa patte valide, Et tu sais moi aussi j'ai un frère et c'est d'ailleur à cause de sa que je suis içi j'ai tous quitter pour le retrouver après qu'il est perdu la mémoire et maintenant qu'il à retrouvé la mémoire je m'ennuie aussi.
La louve au pelage nuancé de gris et aux motifs bleu ne savait pas trop pourquoi elle racontait ça à l'autre loup, elle savait juste qu'un nouveau sentiment prenait plaçe dans son coeur et qui n'était pas si désagréable que ça, bien au contraire.

Vanguard fini par partir un peu plus loin sûrement par besoin de solitude. La canidé des glaces décida donc de le laisser seul. Elle soupira, ce petit échange lui avait rappeller le stress qu'elle avait caché tout au fond de son coeur: qu'allait elle devenir ? C'est vrai que son grand frère n'allait pas l'oublier mais il n'a plus besoin d'elle réelement, ils se donnerons rendez-vous de temps à autre et voila ça s'arrêtera là. En dehors de ça Yell n'a ni famille -enfin elle est loin- ni compagnon, tout ça pour nous ramener à la question essenciel: qu'allait elle devenir ? Malheuresement comme toujours elle ne trouva aucune réponse à la question.
" Pardonnez moi de vous avoir laissée seule tout ce temps, un besoin pressant de réfléchir et de faire le point sur ma vie. La nuit est venue rapidement, je suis navré, je vais vous emmener dans un endroit ou nous pourrons passé la nuit, et demain à l'aube, j'irais chasser. Montez, s'il vous plait. "
Fit une voix familère.
La louve grimpa sur son dos tandit qu'elle répondait:
- Moi aussi j'avait besoin de solitude à vrai dire, bien que je pense qu'il me faudrais plus qu'un simple moment seule pour trouver une réponse au stress qui à envie mon coeur ses derniers temps.
Sur ces paroles la louve ferma les yeux, elle avait beau être sur le dos du loup géant elle était exténuée et le sommeil ne tarda pas à prendre le dessus sur l'envie de rester éveiller de la canidé.

Il fallut un léger temps de réaction à la louve, elle semblait plongée elle aussi dans ses songes. Finalement elle revint à elle, et grimpa sur mon dos. Elle m'expliqua ensuite qu'elle avait profiter de mon absence pour faire le point elle aussi. Mais qu'il lui faudrait certainement bien plus de temps à elle pour évacuer tout ce qu'elle avait à évacuer. J'écoutais en silence, et ne sachant quoi répondre, je hochais légèrement la tête, pour lui signifier que je comprenais. Le chemin se fit en silence, je réfléchissais encore, même si je savais que je ne faisais que me creuser la tête inutilement, je ne pouvais m'en empêcher. Et la louve qui se trouvait sur mon dos m'étais de moins en moins indifférente. Et indifférente était carrément le mot contraire. En réalité, elle me plaisait de plus en plus. Mais comment lui avouer que si elle m'acceptait dans sa vie, je vivrais bien plus longtemps qu'elle... Que malgré mon apparence de jeune loup, en rapport à son espèce, je n'étais qu'un misérable vieillard. Jamais elle ne pourrait supporter cela. Pour le moment elle ne faisait que m'attiré, et heureusement, car je pouvais encore lutter contre cela.

Je marchais longtemps, sans vraiment m'en rendre compte. Lorsque je m'arrêtais enfin, je me rendis compte que le soleil commençait à pointé le bout de ses rayons. J'avais passé la nuit à marcher, et je ne m'en étais pas rendu compte. Je ne sais pas ce qui était le pire, que je n'avais pas vu passé le temps, que je ne sois même pas fatigué, ou que la femelle n'ait pas rouspéter parce que je ne trouvais pas d'endroit. Ou alors peut-être l'avait-elle fait, et que je ne l'avais pas entendu. Non tout de même, ce serait trop gros. J'aperçu un point d'eau au loin, un petit étang. M'en approchant, je regardais mon reflet dans l'eau. La louve avait sa tête qui pendait mollement par dessus mon épaule, les yeux fermés. Elle s'était endormie. Soit depuis le début, soit mes pas avait finit par la bercer et elle s'était laissé allé à son sommeil. Je la trouvais encore plus belle endormie. Elle était là, tel un ange, sur mon dos, m'accordant la confiance la plus totale. Des papillons volèrent dans mon estomac, et tournant la tête, je mis fin à cette vision de pure beauté, qui n'était pour moi que pure folie. Je n'avais aucun droit de lui faire vivre cela! Me couchant délicatement, je lapais l'eau de l'étang pour étancher la soif qui me tiraillais après cette nuit entière de marche. Je ne voulais pas la réveiller, mais elle aurait faim en se réveillant. Et je lui avais promis d'aller chassé le matin. Mais si je partais et la laissais là, si elle réveillait avant que je revienne, elle risquerait de paniquer et de peut-être m'en vouloir. Mais si elle m'en voulait, elle souffrirait tout de suite, et non plus tard. Et en souffrant immédiatement, elle éviterait plus de souffrance et donc se limiterai à accepter mon aide, sans plus. Après mûre réflexion, je trouvais celle de juste avant totalement stupide, dérisoire et indigne de moi. Et donc, déposant doucement la demoiselle sur le sol, je me tournais vers elle, et avec mon museau, je poussais doucement sa tête par petits accouts, dans le but de la réveiller gentiment. Mais peine perdue, elle avait apparemment le sommeil lourd. Je finis par me résoudre à passer des coups de museaux aux coups de langue sur la figure. Même si je me sentais très mal à l'aise, trop proche d'elle, rien que par ce geste, je ne pouvais la laisser endormie là au milieu, elle serait une proie bien trop facile. Je finis par ensuite attraper son oreille dans ma gueule, délicatement, et tirais doucement, comme le ferait un louveteau. Enfin elle ouvrit les yeux et avant même qu'elle ne puisse réaliser ce que j'avais fais, et peut-être m'engueuler je déclarais :

" Demoiselle,je me réjouis, vous avez l'air d'avoir bien dormis, je pars chassé, comme promis. A plus tard. "

Et sans attendre d'avantage, je pris mon envol direction les grandes pleines ou les proies courraient en abondances. Quelques minutes de vol rapides me suffirent pour les atteindre. Quelques minutes supplémentaire pour choisir une proie assez grande pour deux loup, et pas trop lourde pour que je puisse tout de même la porter. Je remarquai dans le troupeau de cerf, une biche qui boitait. Et pour parfaire l'addition, elle n'était pas accompagnée d'un petit. Je ne priverais donc pas un faon de sa mère en la tuant. Repliant mes ailes je plongeais droit sur la biche boiteuse. Lorsqu'elle entendit le sifflement tippyque d'un vol rapide vers le bas, et qu'elle leva la tête vers moi, il était déjà trop tard. Moins d'une seconde plus tard, j'attéris sur elle ce qui du déjà lui briser quelques os, et attrapant sa gorge immédiatement, elle chuta avec moi. Nous glissâme sur quelques mêtres, et elle tenta de se débattre férocement. Mais son débat fut de courte durée, car lorsque je fus capable de me redresser sur mes pattes je donnais un brusque coup de tête sur le coté, et après un craquement sourd, je pus entendre la dernière expiration de la biche, tous ses muscles se relâchèrent et elle ne bougea plus. Lâchant ma proie je repris mon souffle, puis l'attrapant par son dos, mes grandes mâchoires parvinrent à faire le tour de sa colonne vertébrale. Dépliant ensuite mes ailes, j'emportais ma proie dans les airs. Le temps de retour fut un peu plus long que l'allé, mais le soleil n'avait pas encore finit de se lever lorsque la biche tomba lourdement à coté de la demoiselle. Elle aurait sûrement sursauté et lever la tête par pu réflexe, ne serait-ce que pour comprendre pourquoi une biche avait failli lui tombé dessus en venant du ciel. Me posant ensuite face à elle, je déclarai :

" Je vous souhaite un bon repas, elle est encore chaude, il n'y a que quelques minutes qu'elle à expiré pour la dernière fois. "

La jeune louve dormait paisiblement sur le dos du mâle blanc, elle c’était endormie sans s’en rendre compte et serais très certainement déboussolée à son réveil mais laissons au futur se qu’il lui appartient, vous voulez bien ? Pour l’heure la demoiselle des glaces ne fait que dormir paisiblement sans ce douté une seconde du problème du grand mâle à son sujet. Son ignorance était peu être une bonne chose, après tout si elle ne sait pas tout de suite ce qui l’attend l’amour va peut être prendre place dans le cœur si souvent meurtri de l’hikage et une fois l’amour installée le plus dure est de le virer.

« Demoiselle, je me réjouis, vous avez l'air d'avoir bien dormis, je pars chassé, comme promis. A plus tard. » Fis Vanguard dans une voix qui semblait si lointaine aux oreilles de Yell.

La jeunette mis un certain temps à comprendre ce qui se passait autour d’elle et c’est avec un léger goût d’amertume qu’elle comprit que son protecteur venait de prendre son envol. Cependant il en fallait bien plus pour que l’être appartenant au clan de la nuit perde son calme. Le calme était devenu une partie d’elle désormais. Il faut dire que c’est beaucoup plus facile de réfléchir lorsque que l’on est calme.

* Je me demande combien de temps encore il va rester à mes côtés… * Pensa la louve bicolore.

Cependant il fallait qu’elle arrête de se mentir : il n’allait pas rester très longtemps encore, il avait sûrement d’autre chose à faire que de s’occuper d’une jeunette qui prise d’un air de défis c’est brisée les os de la patte. Pourtant, et la canidé devait bien l’admettre, elle n’avait pas envie qu’il parte. A ses côtés la louve des glaces ne se sentait pas aussi vide que lorsque qu’elle était seule, sans Vànell avec elle, et ça elle ne pouvait le nier. Elle soupira pour la énième fois au moins depuis son réveil, décidément trop de problèmes sans solution cogitaient dans son pauvre petit crâne. Soudain, elle vit une biche tomber du ciel.

« Qu’est- ce que … »

Mais elle n’eut pas le temps de finir sa phrase interrompu par « la cause de ses problèmes du moment » :

« Je vous souhaite un bon repas, elle est encore chaude, il n'y a que quelques minutes qu'elle à expiré pour la dernière fois. »

La tête de la jeune louve bicolore passa de la biche à Vanguard puis de Vanguard à la biche, avant de finalement répondre :

«Vous en voulez un bout ? De toute façon ça m’étonnerait que je la finisse et gâcher ce délicieux repas serait un crime impardonnable »

C’était une tentative – médiocre certes mais tout de même une tentative- pour essayer de garder ce protecteur un peu plus longtemps à ses côtés.

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