Les Fleures du Mal [PV Ryry de n'amour]

Invité

Vite. Plus vite. Il faut courir toujours plus vite. La vitesse est importante. Il faut courir. Je court.

Jamais de ma vie je n'avait couru aussi vite que cela. Mon pelage était au vent, mes pattes touchaient à peine le sol, les griffes raclaient à peine la terre ocre de la fôret, ma bouche au vent, la langue pendante, les oreilles bayonner par le vent. Mes yeux fous suivait à peine le paysage, la forêt et sa végetation défiler à grande vitesse sur mes côtés et devant moi, j'avait l'impression que tout cela n'était qu'un peinture mal peinte. Je suis déjà fatiguer, mon coeur cogne dans ma poitrine, j'ai bientôt le mal du coeur, mes pattes se usent vite à cause de la terre dur et de ces branches qui me genait de galoper. J'ai chaud. La chaleur me prend de partout, je suis légèrement, mais grâce au vent bénefique, j'ai moins chaud, et de plus le vent m'aide à avancer sur ma liberté. Ma langue prend la fatiguer de pendre comme cela dans les airs, et je sens mes dents qui frappe contre ma machoire puissante, je sent la bave qui me coule. Je sent mon corps de renard qui me dit d'aller plus vite, de pousser plus fort, plus loin. J'en peut plus, je veut tout arrêter, mais la faim me re-donne de nouvelles ailes pour voler. Je suis toujours le même point. Je regard peut être le paysage defiguré, mais je fixe un point devant moi. Devant moi, un corps qui bouge, des pattes de cerf qui saute de plus en plus forts pour m'échapper, qui m'envoye des pierres à la figure.

Je ferme mes yeux pendant un millième de secondes. J'ai eu tort. J'avait perdu de l'avance. Je devait galoper encore plus fort pour arriver à ma proie que j'ai chercher tant longtemps, je devais arriver. C'était une obligation, une question de la vie ou de la mort. Je sert encore plus fort mes dents, je remet ma langue à ma place, je fait un visage sadique et de quelqu'un qui peut réussi. Je plie mes yeux, j'ouvre plus la marché de mes pattes, je fait des bonds immenses, j'essayer de faire moins taper les griffes sur le sol. Plus vite. Toujours plus vite. J'essayer moins de penser pour arriver. Je gagner de la distance. Je suis proche de mon gibier. Je suis presque prêt à le saisir entre mes dents, le cueillir pour pouvoir étouffer cette vie énergique. Soudain cet cerf m'envoye à la fugire un sort de galet, et pour bien l'éviter, je fait un bond vertigineux vers le côté. Malheureusement je prend un mauvais chemin. Des ronces, de sortes de végatation qui pend me colle à la figure, des toiles d'araignées me précedent. Et moi je perd ma proie. Non. Non pas maintenant alors que j'arriver au bout que j'allais enfin le gagner après tant de force que j'ai mis ! Non je ne pouvais me permettre sa ! Je perd de vue ma proie. Où est-elle ? Elle n'est plus là. Juste un bruit de sabots, des images brunes quelque part dans la végetation touffue et rien. Je sens que mes muscles perdent la vitesse, je sens une profonde décecption m'envahir. Je me sens comme mourir. Cet gibier je le chasser depuis tout le temps ! J'ai mit tant d'efforts. Ce n'est pas n'importe quelle cerf. C'est un cerf bien magique. Il est comme les autres, mais sa vitesse, sa résistance, sa taille .. tout est triplé. Et pour le reconnaitre, une étoile jaune est dessiner sur son pelage. Si quelqu'un l'attrape alors là ... mais il faut boir son sang quand il est entrain de mourir. Pas après. Mais il s'échappe de moi. Soudain je voie la route qui se réjoignait et un rocher. Je sourit malicieusement. Je l'ai ce coquin ! Je prend toutes mes forces dans mes muscles de derrères, je prend mon souffle, et je saute sur le rocher. De loin il sembler plutôt petit, mais là. J'ai cru que j'allait jamais y finir. J'ai pris bienj trop longtemps à atteindre ce rocher. J'ai bien faillit de le rater, il fait 2 mètres. Enfin mes pattes l'ateignaient, je vais réussir .. mais l'une de mes griffes y glissent silencieusement. Non ! Je me rattrape à temps.

Je suis sur le rocher. Je fait de légèrs bonds. Je vois ma proie bien haut. Je crains le pire. Déjà que je sui situer bien haut, et de plus le sol après le rocher, s'enfonce, enfin il sauter encore plus. Je n'ai pas de tempsa perdre. Je ferme à peine les yeux, pris et saute. Je saute pile sur le cerf. J'ai n'avait qu'à ouvrir le syeux, que je suis sur lui, il essayer de me faire tomber. Je me sens bien sécouée, pourtant je sens la puissance de ce cerf. Je me cramponne comme je peux. Alors Je pousse assez forte, me racroche à ses cornese et ... il allait faire un détroit, mais je l'ai déstabiliser, alors il rata son coup, et au lieu qu'on toune à gauche, on est partit tout les deux dans le fossé. Mes yeux s'ouvraient, s'écarquillent. Tout sa pour un cerf et pour mourir. Je vois ma vie défiler. Je tombe, mais mes yeux attendait le choc de la mort. Rien.

J'ouvrit mes yeux au ... paradis terreste. Je sens que je suis sur terre car mes os sont vivants et ... j'avait le cerf mort juste sous mon poids. Comment j'avait atterit là ?? J'en n'avait aucun idée. Je porte mon regard au ciel. Il n'y a que des arbres. De beaux arbres au tronc noirs d'encre avec de belles fleurs roses pâles. Le paysage n'avait rien avoir avec le bout d'un fossé. Mais où était-je bon sang ?! Au paradis peut être à la fin ... Mais ... pourquoi alors le cerf est mort et pas moi ? Rha sa ne veut rien dire ! >.< Le cerf et moi étions dans l'eau, une eau cristalline, avec de drôles de poissons colorés. Le cerf était mort et il m'avait servi à sauver ma peau. Mais comme il était mort, son sang ne me server à rien. Tout ces efforts pour rien. Mais si tout de même j'ai découvert un endroit superbe. Je laissa choir le cerf ici, et commença mon inspection.

( Wow pas mal ton texte :) dommage pour les fautes par-ci par la, mais perso il sera bien moins long lol )

Ces chants... Ces chants magiques autour de moi... Ceux des oiseaux rares qui vivaient en ces lieux. Ce chant qui me berçait comme une comptine ancestral qui reniait en ces lieux depuis temps de temps maintenant... J'aimais beaucoup entendre cette douce mélodie en marchant des ces bois, je me sentais apaisé, calme et serein, nul colère, nul mauvaises pensées. Je marchais au ralentis, a une allure de promenade afin de regarder le décors qui m'entourait, profitant de ces quelques rayons de soleil qui perçaient temps bien que mal les branchages entrelacés des vieux arbres. Je n'avais aucun but précis en venant ici, seulement de visiter l'endroit, et d'atteindre le temple qui s'y cachait profondément enfoui au centre de la forêt.

Cela faisait déjà un bon moment que je marchais, peut-être y avais-je passé la journée, je n'y avais pas vraiment fait attention... Je m'étais seulement arrêter a une petite marre que j'avais croisée un peu plus top pour m'y abreuver. Je n'avais besoin de rien, seul l'envi d'explorer le temple me poussais a avancer sens relâche, mais sens forcer non plus. C'est alors que je vis au loin une forme nouvelle, différente de toutes celles qui m'entouraient. Une forme immense et larges, hautes et droite, don je ne pouvais distinguer d'avantage l'image a travers la végétation qui nous séparait. Des odeurs nouvelles que m'apportais un courent d'air venant de la-bas, en face de moi, de ce nouveau lieu devant moi. Mon regard changea, un regard curieux, intrigué se dessina sur mon visage, mon pas lui s'accéléra de plus en plus, pour finir a marché de grand allure. Je m'approchais d'avantage quand j'entendis se grand fraca, comme une lourde chute dévalent un fossé. Je tourna brusquement la tête vers ce bruit soudain, qui ne s'en finissait plus... Des craquements, des gémissements, des chocs et pour finir un lourd grondement assourdit dans de l'eau. Je tourna une dernière fois la tête vers le temple que je venais de découvrir et commença a me diriger vers la zone du bruit laissant ma quête a plus tard... Je voulais savoir se qui s'était passer et qui ou quoi avait produit ce " bordel ". Je m'approcha et vis la-bas, un peu plus loin, au pied d'une colline qui montait un peu plus haut dans les bois, une louve étrange, profilé fine comme une renarde, étalé sur se qui semblait être le cadavre d'un grand cerf ensanglanté... Elle avait l'air en bonne santé, contrairement a son nouveau cousin qui se vidait dans le ruisseau cristallin. Peut-être était-elle seulement sonné, mais une chose était sur, vu la chute qu'elle venait de faire, elle pouvait s'estimer heureuse de l'état a son arrivé en bas, sa plausible proie, lui avait servit d'amortisseur face a la fermeté du sol sur lequel elle venait de tomber avec violence et vitesse. D'après se que je pouvais constater, elle devait être en train de le chassé et tout eux non pas du faire attention au fossé ou ils allaient glisser... Je resta tout de même discret en l'observant, mais je n'étais pas " caché " pour autant, me voir serait pour elle facile si elle regardait en ma direction... Encore fallait-il qu'elle le face maintenant...