Y fait un peu chaud non ? | Shayle |

La chaleur ettoufante rendait ma robe humide de sueur. Je ne me plaignais pas de la chaleur ... Enfin si. Je veux bien qu'il fasse beau, mais là, c'était tout de même trop. Heureusement que j'avais fait une pose à un point d'eau avant de partir il y a de ça quelques heures, parce que je croit que je serais sans doute déjà mort. Je voyais Blume se ventiler avec ses ailes, ca va il se gênait pas trop dans le genre. Il pouvait au moins me rafraichir un peu aussi nan ? Moi j'avais la chaleur d'une crinière en plus ! Lui avec ses deux trois p'tites plumes de rien du tout là. Je lâcha un lêger soupir, desfois je me demandais pourquoi je l'avais sauvé ...

Sabots sur le sol où sol sous les sabots ? Fidèle a mon ombre où ombre fidèle à moi ? La Chaleur existe a cause du soleil ou le soleil existe a cause de la chaleur ? Je m'y perdait dans tout ça ... Mais la " chose " qui m'accompagnait elle été tranquille elle, elle avait son moyen de transport. Quand j'pense qu'il m'accompagnait toujours, comment j'fesait pour le supporter tout le temps ? Je m'éppatais moi même ... Apprenez moi comment de pas râler ... Je suis un grand insatisfait ... Mais j'pense que c'était pas plus mal en fait, au moins j'était pas une de ces cruches qui s'émerveille devant n'importe quoi. Et j'étais pas non plus une grosse brute qui tape tout le monde sans raison, juste pour le plaisir d'entendre des " Aïe " à tout bout de champ ...

J'avançais toujours, sans raisons aucune, avec comme unique paysage du sable, toujours du sable. Quelques fois des plantes qualifiables de " spéciales ". Quel beau paysage que le sable ... De plus, il s'incrustait dans mes sabot, c'était très agréable je doit dire ... Euuuh, pour ceux qui prendrait tout au pied de la lettre, c'était ironique . Mon " fidèl " accompagnateur décida enfin a bouger. Il vint devant moi lacher quelques cui-cui agancant, pour finalement repartir sur mon dos . Aaah la vie d'oiseau, ça a pas l'air si dur à vivre que ça. N'y aurait-il pas un point d'eau quelques part ? C'est que ça venait quand même a manquer ... Pas beaucoup hein, mais suffisament pour que j'ai super soif quoi ...

Ben le seul avantage, c'est que maintenant j'avais une raison de marcher.

[ Oh My Dog post de merde >,< ]

Invité

Suis-je stupide ? Oui. Je penser que je pourrer retrouver mes parents ainsi que mon frère de sang dans ce désert sans âme sans végétation autour de milles kilomètres ? Pourtant comme toujours ma force volonté m avait pris le dessus. Bizarrement je me plaigner a moitier. Bien sur c était idiot d aller ici, surement ma famille n habite point la. De plus je ne pense pas vraiment qu ils sont traverses ce dessert pour se retrouver en territoire ennemie ... mais ... si comme ma mère me l avait dit, enfin si vraiment mon père est partie loin de nous alors ... il avait peut être traverser cet désert aussi chaud que son cœur pour se retrouver de l autre coter ? Pour se cacher ? Et mon frère alors qu est qu il a a faire dans tout sa ? Rhha ... tout sa c est trop pour moi. Ces questions qui me tourne la tête, je déteste les choses complexe ... ah .. si tout pouver être aussi simple que on le penser ...

Bon ici fait très chaud, je supporte a peine la chaleur qui m écrase la tête, j ai même l impressions qu un petit insecte de rien du tout ou même un mini oiseau pourrait se faire griller dans cet ''paysage'' enfin si on pourrez appeler comme cela ... Je trouve que si aussi vide que le bas fond d une rivière enfin comme si on ferme les yeux et on ne verrais que du noir. Je vous jure il n y a que sa !

Le ciel est bleu claire ... quelques doux nuages la traversent ... un soleil grand et radiant me bruler les yeux me les transpercent ! Le sable est chaud sous mes pattes presque brulant .. bientôt midi va arriver et il faudra que je me trouve un abris. J en suis presque sur que la nuit tout est pareille, sauf que les dunes sont de couleur foncées et que ... ma mère m avait raconter que la température est plutôt basse la nuit, enfin sa dépend vraiment. Penser a ma mère que je délaisser, penser a mon père et a mon frère qui sont je ne sais ou ... mon cœur gémit et j ai mal. J ai mal !!! Pourquoi les choses ne sont pas si simples que nos pensées ??!! Quand je pense que j ai pu rester tranquille dans cette jungle blanche a rien faire ... sa se voit bien que la famille est quelque chose de tres important pour moi mais cest aussi un ...

Est-ce moi ou mes yeux qui me trompent ?? Je vois le temps qui change vraiment très bizarrement. Il devient nuageux, crémeux, il commence a devenir comme ... comme .. comme si il y avait une pluie de sables de couleur foncés !!! Le haut soleil commence t-il a disparaitre juste un peu, non ? Ou .. est-ce mes yeux de folles ?? Je commence a voir de loin des montagnes ... oui de hautes montagnes brunes rauques .. poudreuse et chocolatées ... oui quelle couleur ! Encore plus loin, enfin plus près de moi, j aperçoit ... Non ! Non ! Est-ce vraiment ce que je vois ?? Oui ou non ?? Des arbres, des palmiers qui vertige au fil de la traverser des dunes mystérieuses ?? Y-a-t il vraiment un lac ou boire ?? Rêve-je ? Ma chère mère ne m avait rien dit a propos de cela ... peut être que si .. j y vais voir. Je prend mes dernières forces déjà épuiser par la chaleur et je court. Je galope !

Au loin un nuage de ce sable d'or volait, je le voyait, dans la rougeur de ce soleil brulant toute la journée. J'ignorait encore la cause du pasage de ce nuage sableux, mais tout ce que je savais, c'est que ce n'était pas le fruit du vent impétueux. Un animal du désert devenu fou ? Ou tout simplement un animal de passage, devenu fou lui aussi. De toute manière, c'était quelques chose de fou, c'est tout ce qui était sur. Quelque chose de fou où un gros immature d'animal crétin jouant a la baballe immaginaire que son maimaitre immaginaire a lancer immaginairement entre autre un bonheur immagianrie, mais le plus plosible restait que " la chose " était devenue folle.

Moi, je continuais de marcher contre la chaleur et la sècheresse. Ma gorge se fesait de plus en plus sèche. Je fini par m'arrêter, j'allais finir par devenir fou à mon tour si je ne cèssé pas un instant de marcher. J'avais l'impression que le soleil me rendait fou, il fallait que je boive. J'aurais été un loup, j'aurais creuser jusqu'a trouver de l'eau, mais que voulez vous faire munit de sabots disgracieux ? Blume commençait a voir que je n'allais plus très bien, il souleva donc son poid, et partit loin devant, tellement loin que je ne le voyait plus, et il faut dire que ma vue était loin d'etre défaillante. Il revient quelques minutes après, la joie lisible dans ses yeux noirs. Il pointait du bout de l'aile l'horizon. Avait-il trouvé un oasis où une source d'eau ? Qu'importe, je me préparais a courrir dans la direction qu'il pointait, quand je me mit à repenser à la bête qui courrait dans le désert, sans doute guider par un mirage.

Je fit demi-tour, et me mit à galoper aussi vite que je le pouvais en sa direction. D'un signe de tête, je dit a Blume de rester où il été pour m'en servir de point de repère. Je commençait a voir de plus près la masse se déplacant dans le sable. C'était un animal, blanc et noir, à première vue un loup ou un renard, ou plutot une louve ou une renarde, ça restait difficile à dire. Je me mit à galoper de plus belle. J'étais a présent presque à ses côtés, je me mit à hennir, pour qu'elle s'arrête de courrir. J'allais finir par complètement dessecher à force ... Je regarda dans ma course si je voyais encore Blume malgret tout. Bon signe qu'il soit bleu pétant, il se voyait comme y'a pas dans ce sable doré.

<< - Arrête de courrir ! T'es maboule où quoi ?>>

Dis-je essouflé et hors d'halène. Je ne savais pas si elle avait entendue, mais en tout cas, elle ne semblait pas avoir réagit sur le coup.

Invité

Je court, je galope. Je met toute mes forces pour atteindre cet oasis. Boire, me reposer, rester un petit moment, me baigner. C'est tout ce que je demander. Peut être cela faisait un peu trop non ? Mais tout est toujours trop dans un désert surtout comme celui-ci. Mais boire dans un désert c'est un privilège. Heureusement qu'il y avait de l'eau. Je me demander si peut être que mon père ne se trouver pas la bas par le plus grand des hasards ... mais je continue a galoper comme une folle, a courir le poil du pelage en l'air telle qu'une louve cherchant quelque chose de précieux et en le trouvant, ma mèche folle gambader sur mon visage mais rien ne me soucier, mes yeux étaient presque brulées a cause de ce soleil ardent, je me disais si j'allais encore tenir ou j'allais tomber et m'étaler, rester dans cette position pour ne jamais me relever. Ma bouche était ouvert, comme si j'allais recevoir de l'eau plein dans le visage, ma langue pendouiller pour régler la température de mon corps.Je sentais mon corps qui commencer a peser lourd sur mes papattes frêles, de plus, je sentais mes pattes ainsi que mes griffes s'enfonçaient plus dans le sable brulant du midi. Pourtant je n'abandonner pas. Je rester sur mon chemin, je ne bouger point sur le coter. Je ne regarder rien. Mon regard était fixer sur le point d'eau, très loin la bas, pourtant si près de ma gorge desséchée.

Je me repris en pattes. Je décida sauter plus haut pour rétablir l'ordre dans mon corps. Je saute haut, mais pas trop. Quelques encore mètres de course, puis encore un bond, pas très haut, mais long. J'étendis mes pattes, puis j'atterris pas terre. Je crus que j'allais perdre l'équilibre puisque j'avais mal atterris, mais c'étais bon. Je continua de nouveau ma course fofolle. J'étais presque arrive. J'étais presque ! Mon but se trouver pas loin de moi. J'allais de nouveau sauter, mais le moment ou j'allais atteindre presque le haut de mon saut, je fut violemment jeter par terre accompagnée d'une phrase un peu brusque.Peut être que cette phrase voulait signifier autre chose, peut être que c'était un accident, un malentendu, mais j'avais pas du tout aimer sa. Que sa soit un male ou une femelle, je lui repondit d'un ton ferme :

-Maboule toi meme ! Regarde ou tu met tes pattes !

Le seul mot que j'ai put entendre de la bouche de cet etre c'etais : Maboule. Mais quand j'ai bien re-ouvert les yeux je remarqua que c'etais vraiment un accident, enfin un malentendu qui c'etais passer. De plus c'etais pas pas un loup, c'etais un cheval. Plus précisément un étalon. Si il eu été sur mon territoire je l'aurais déjà renvoyer a sa place, même si j'aime pas trop combattre. Mais la comme on se trouver dans un territoire neutre, mais aussi dans un désert ou c'était dur de survivre, je laissa tomber cette option. Je l'aide si j'ai put. Mais je resta sur mes gardes. Qui sait.

-Pardon ... murmura-je avec des yeux chibis.

La louve renarde protesta à mes mots d'une manière pas des plus agréable en me relançant mon " Maboule " à la manière d'un enfant idiot ... Elle me dit de regarder où je mettais mes pattes ... Seulement, ça s'appelle des sabots, mais bon, vut sa mentalité ça ne devrait pas lui servir à grand chose. De plus, je ne voyais pas en quoi je devrais faire attention, elle n'a qu'a courrir moins inutilement aussi, pourquoi est-ce qu'elle court ? Elle s'épuise pour rien, c'est de l'energie gaspillé. Moi j'avais courrut pour l'aider, puis voila qu'elle me renvoie mes mots. Aaah les femmes, je ne comprend rien en elle. Ce n'es pas qu'elle c'était montrer insolante, mais un peu quand même. Enfin, je parle je parle, mais suis-je mieux ? Je ne suis qu'un grand râleur insatisfait après tout. La vie est faîtes pour les vivants, même si tout le monde ne la mérite pas.

<< - Pardon ... >>

Pardon ? Ouai, j'le méritais peut-être, mais j'avais pas été très cool non plus. Elle me fixait de ses petits yeux bleus brillants. Elle était plutot mignone comme ça en fait. Le soleil commençait à nouveau à me taper sur le système. Je regarda de nouveau derrière moi, pour être sure de voir encore Blume après cette course; par chance, je le voyais encore. Je tendis un sabot à la femelle pour l'aider à ce relever.

<< - Bon si tu permets, j'ai soif et y'a un point d'eau qui m'attend par là bas. >>

Je fit demi-tour pour être en dirrection du piaf bleu qui m'attendait. Je voulais d'abord savoir si la louve renarde blanche voulait elle aussi boire avant de partir au grand galop vers le point d'eau. Il fallait pas trop qu'elle tarde à me dire si elle vient où non, je commençais serieusement à avoir soif.

[ Haannnw j'ai pas d'inspi avec Rei' en ce moment >,< ]

Invité

Je rester toujours sur mes gardes. Mes quatre pattes étaient durement enfoncer dans le sable chaud, car la surface du sable était chaud mais a l'intérieur enfin en profondeur il faisait un peu moins brulant. Mes griffes raclaient et ramasser les graines de sable pour de nouveau les laisser tomber. Bon dieu, après sa va être l'enfer pour enlever le sable des griffes. De plus si je met trop de sable sur mes papattes et sur mon corps, je risque d'avoir un petit problème en sortant de l'eau. Tout le sable alors sera coller a moi. Horreur. Mais il faut déjà que j'arrive a passer devant le beau étalon gris et noir, pour l'instant je ne saurai le dire si oui ou non il est dangereux. Je laissa ma queue se balancer en signe d'avertissement, et je baissa légèrement mes oreilles en signe de ''Ne me touche pas !'' en tout cas j'espérais qu'il allait comprendre le message que je voulait lui faire passer. Mais je laisser quand même mon air frais, et assez charmeur. Il ne fallait pas que le dada pense que je suis une vrai fofolle.

Bon. J'avais compris qu'il me regarder d'un œil pas très normal. Ou plutôt il me trouver un peu bizarre. Je ne l'arriver pas a comprendre. Qu'est qu'il y a de bizarre si une femelle louve, et belle comme moi, ''galope'' sur le sable chaud pour arriver a sauver sa soif, et que un mâle aussi inattentionné que celui-la vous heurte et vous laisse tomber comme cela ? Rhaa ... je ne comprendrais jamais ces étranges mâles ... Mais quand ma petite tête avait compris son petit plan, j'avais très vite décider que j'aller arrêter de faire mes petits yeux tout rond et tout mignon. J'allais lui afficher un autre visage, celle d'une petite louve tout mignonne et mécontente ainsi que gâter, mais celui-la se retourna derrière sa queue et regarda je ne sais quoi. C'est bien la ou j'avais remarquer qu'il y avait un point bleu ... volant ? Mais je ne voyais pas très bien a cause de la distance et d'un étrange truc dans l'air qui planer autour de nous tous. Quand le dada se retourna il m'avait déjà lancer une phrase. Je ne 'avais pas trop aimer la façon dont il avait dit. Ces Umas sont bien plus que bizarres, et inattentive, surtout les mâles du genre celui-la.

J'aller lui clouer le bec, quand enfin il fit un geste bien gentleman, il me tendit son sabot. Je resta a le regarder d'un air très méfiant, mais de toute façon, je lui prit le sabot, tira un peu trop fortement mais j'en suis sur que il est très bien bâtie, et avec ma force de jeune adolescente je me leva complétement. Mais quand j'avais voulu lui dire un jolie et tout doux merci, il sembler comme se retourner de nouveau, et il sembler me montrer qu'il voulait déjà aller. D'ailleurs il avait raison, moi aussi je crever de soif. Quand je fut a sa hauteur, et a sa longueur de sabot, je l'incita un marcher rapidement. De plus je lui dit tout et fort :

- Pourquoi tu ne t'excuse pas de m'avoir renverser ?? Ah en faite ... merci, j'avais dit la dernier phrase très gentiment et avec un petit sourire timide.

[Gomen pour la qualité et tout ... j'avais un peu la flemme de développer ce texte ><]

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